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| Même les hommes et les femmes changent. Dans 1000 ans, il n’y aura ni mec, ni nana. Que des branleurs. | |
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Swann E. Prince ☀ Je viens de rejoindre ma team
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| Sujet: Même les hommes et les femmes changent. Dans 1000 ans, il n’y aura ni mec, ni nana. Que des branleurs. Lun 6 Aoû - 9:23 | |
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❥ Prince ; Swann Eliah❥ Dire que j'ai gâché des années de ma vie, que j'ai voulu mourir, que j'ai eu mon plus grand amour, pour une femme qui ne me plaisait pas, qui n’était pas mon genre ! ❥ Né à Madison, Wisconsin (USA) ❥ Quarante-deux ans. ❥ travaille comme chirurgien plasticien ❥ John Barroman ❥ Homosexuel ❥ Célibataire et satisfait ❥ Miaouss oui oui la gueguerre ! SÛR DE LUI ◘ IMPRÉVISIBLE ◘ AUDACIEUX ◘ POSSESSIF ◘ INGÉNIEUX ◘ ARROGANT ◘ INSOUMIS ◘ CAPRICIEUX ◘ FIER ◘ IMPULSIF ◘ LUCIDE Qui est le soleil de ta vie ? ◘ Ma propre personne. Je raffole de mon job qui me permet de regarder sous toutes les coutures des vingtaines de personnes par jour et j'y trouve parfois mon compte, par-ci par-là quelques aventures instables, rien d'extraordinaire, pas de quoi en faire des soleils de ma vie, hirondelles de mon coeur et tout le barda. Et ça me plaît plutôt bien ces aléas dans mon quotidien. C'est vrai, à quoi bon s’embarrasser à long terme avec quelqu'un qui a un visage trop asymétrique alors que je pourrais continuer de cavaler à la recherche du corps parfait. T'es prêt à faire quoi pour un Big Mac ? ◘ Rien. J'ai horreur de la nourriture, horreur de manger, horreur de cette graisse sous forme pseudo appétissante. Alors ton Big Mac, tu te le gardes. Qui est la personne que tu admires le plus ? ◘ Mon frère je pense, car il m'a apprit la définition de l'expression "avoir du cran" avant même que je n'ai le temps de l'expérimenter de mon propre chef. Il a prit ses clics, ses clacs, il a présenté son majeur au paternel qui avait pris l'habitude de nous serrer la vis et on a plus entendu parler de lui. Au début j'aurai voulu, dans un fantasme égoïste, le dépecer vivant tant je le détestais de m'avoir lâchement laissé dans cet asile de fou. Une fois la colère partie, je me suis mis à l'admirer. A l'admirer aussi fort qu'un fanatique devant une icône, aussi violemment que Roméo devait désirer sa gourde de Juliette. Un truc comme on en voit dans les livres et films, et qu'on baptise les bromance. Aujourd'hui je le vénère toujours autant, et ça m'arrache les tripes de l'avouer. Pour ou contre l'indépendance des femmes ? ◘ Si je pouvais sortir mon joker de ma manche, je le ferai maintenant car je ne me sens ni femme, ni sexiste alors l'indépendance pour elles, oui bien sûr, allons-y gaiement, ça aurait du être fait plus tôt mais le problème subsistant des tensions entre hommes et femmes me passe bien au-dessus de la tête. Je m'entends indifféremment avec les deux genres, un peu comme les Suisses qui sont amis avec le monde entier. La position de la femme dans le couple, qui porte la culotte et tout ce foin ne fait pas parti de mon monde. Le jour où une femme me jettera un torchon à la figure en hurlant toute l'injustice de sa condition n'est pas prêt d'arriver à moins qu'on me lobotomise et encore... Maintenant, le coup de la grève du sexe je trouve ça relativement brillant et ris d'autant plus lorsque j'aperçois quelques mines masculines frustrées au plus haut point. xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx « Il faut sauver Willy ! » Je ricanais méchamment en le regardant. Il agita sous mon nez son majeur fièrement dressé. « Ta gueule la fille » Certes. Un point partout. Si mon frère était baptisé comme un des fils de la reine d’Angleterre, j’avais quant à moi un prénom que je considérais comme celui d’une fille ou, au choix, d’un dandy roux qui faisait saliver Proust. Swann. Comment en vient-on à se dire un jour, tiens, et si je condamnais mon fils à porter un prénom qu’il n’osera jamais épeler pas même lors d’un prestigieux entretien ? Il me jeta au visage la serviette dont il s’était servi pour essuyer le sang qu’il avait sur les mains, m’arrachant à la léthargie dans laquelle j’étais retombé. Je grognai mais ne fit rien pour lui rendre son affront. William, de trois ans mon aîné, n’avait jamais eu la place forte et immuable de chef dans notre duo. Bien qu’impulsif il ne briguait jamais le pouvoir, il aimait juste se faire entendre comme ces gros chiens qui aboient sourdement pour rappeler qu’ils sont présents et qu’ils pourraient être dangereux mais qui ne passent jamais à l’acte. J’étais autrement plus tyran que lui. Je me débarrassai du linge immonde dans la baignoire et m’assis sur le rebord. La maison était plongée dans un silence épais, étouffant. « Will ? » « Tu vois pas que je suis occupé bordel ? » J’haussai doucement les épaules. Se verser de l’alcool sur des mains charcutées ne rentrait pas dans ma colonne « occupation intense nécessitant une concentration parfaite ». Son visage était contracté par la douleur, ses muscles étaient saillants sous la peau tendue de ses avant-bras alors qu’il se retenait de pleurer et hurler tant l’alcool le brûlait. J’aurais pu, en frère attentionné et inquiet, lui demander ce qui c’était passé, si c’était grave, s’il allait bien, s’il avait des ennuis, mais en vérité, je ne m’inquiétais pas. Il était comme ça. Il sillonnait la ville, les ruelles de Madison, à la recherche de quelques délits. Il défiait les règles, les lois et la logique. Alors quand il revenait blessé, c’était dans la suite des choses pour moi, naturel même. « Je crois que plus tard j’aimerai faire un métier qui rapporte. Le genre de travail où le soir en rentrant tu peux vomir le loyer des trois prochains mois à la concierge sans te demander si t’as assez d’argent pour faire ça. » Ce fut à son tour de se moquer avec une pointe de cruauté. « Comme si on choisissait un job en fonction du revenu. » Je fis la moue, mon cœur balançant entre l’envie d’être vexé et l’envie de mettre les deux pieds dans le plat et me lancer dans le débat. « Peut-être, mais moi, faire les comptes le soir et me disputer tous les soirs avec ma femme parce que j’ai peur de l’avenir, ça m’intéresse pas. Je veux pas finir comme eux, à hurler, griffer et pleurer chaque soir avant de se coucher. » Je fis un bref signe du menton dans la direction approximative de la chambre de nos parents. Femme au foyer d’un côté, petit employé de banque sous-payé de banque ils n’en menaient pas large durant les fins de mois et ce n’est ni un secret pour mon frère, ni pour moi. Le couple battait de l’aile, et ça aussi on le savait malgré nous. Ils ne se regardaient plus, ne se touchaient plus. Ils étaient deux étrangers qui partageaient la même galère. « Alors te marie pas et garde ton salaire pour toi. Quand on partage pas, on a moins d’emmerdes Swann. » Son air sérieux ancra sa phrase en moi, comme un slogan de publicité qui aurait été martelé à la télévision trop souvent. Je retins mon souffle quelques secondes, glacé par son attitude puis souris timidement. Voilà, plus tard peut-être que je serai employé de banque, qu’importe puisqu’à treize ans je savais que je ne me marierai pas. Car quand on partage pas, on a moins d’emmerdes.
« Maman est morte Swann. » Il était assis, en face de moi, sur les marches du perron. Le Penseur était assis là, il avait la tête de mon frère mais pas moins la position pourrie que Rhodin lui avait donné. Sa voix était neutre, plate, comme s’il m’annonçait que les contrôleurs aériens étaient en grève. C’était peut-être un peu pareil d’ailleurs. La contrôleuse ménagère s’était mise en grève pour l’éternité. Le pack de lait m’échappa. Il ne pleurait pas, scrutant paisiblement la moindre réaction de ma part. De toute façon lui et maman ne s’étaient jamais bien entendus, comme s’il n’avait pas été son fils et elle sa mère. Il était chien, elle était chat. Je me suis mis à reculer en titubant, comme sous un choc trop important. N’importe qui aurait naturellement mis en doute une telle information. Il paraissait trop calme. Mais moi, je savais. Je savais qu’il avait raison. Je savais qu’il avait la force mentale suffisante pour encaisser un coup pareil. Mon cœur s’affolait, petit lapereau pris au piège dans une cage. Ma respiration sifflante. Morte. Elle était morte. J’avais envie de m’enfuir en courant comme jamais, courir jusqu’à en avoir les organes qui explosent, courir jusqu’à ce que je me réveille de ce cauchemar. C’est ce que j’ai fait. J’ai laissé le lait qui de toute évidence allait tourner sous cette chaleur d’août, j’ai tourné les talons et j’ai cédé à la panique. Il n’a pas mis longtemps à m’emboîter le pas en hurlant mon prénom. La pente douce de la rue résidentielle m’aidait, j’allongeai les foulées, quitte à tomber et m’ouvrir le menton, je préférai courir. Il hurlait à s’en briser la voix. Les gens dans leur jardin se retournaient pour nous regarder avec étonnement. Tous les regards. Tous les esprits rivés sur nous, des projecteurs agressifs en quête de commérages. Voilà les petits Prince qui se disputent. L’un pleure, l’autre lui court après. Pauvres gosses, si jeunes et pourtant déjà promis à un avenir aussi pitoyable que leurs parents. Courir. Mon cerveau ne répondait plus, mes jambes non plus, tout se faisait mécaniquement. Je trébuchai mollement en quittant le trottoir mais pas suffisamment pour tomber. William hurla plus fort, la gorge prise par la peur. Une masse brute me laboura les côtes avant que je ne puisse tourner la tête vers mon frère. Le jour du suicide de ma mère, une voiture m’a broyé quatre côtes, un poignet, une hanche et un tibia. Son suicide court aujourd’hui paresseusement sur ma hanche, le long de cette cicatrice discrète et pourtant si présente.
« Tu m’aimes ? » Non. Je grimaçai. C’était devenu ma discipline favorite, jouissant d’un visage expressif et flexible à l’infini. Elle était pendue à mon cou, attendant un oui passionné, mais maintenant que j’avais mon diplôme, maintenant que je n’étais plus un pauvre interne de première année, je ne l’aimais pas plus qu’une connaissance. Je valais peut-être même mieux que cette fille. Elle était là, dépendante d’une réponse niaise qui n’arrivera plus. Elle allait peut-être me hurler que je n’étais qu’un salaud, peut-être même insulterait-elle ma mère. « Je vais me faire un café, t’en veux un ? » Elle parut déçue, mais pas le moins du monde inquiète du changement de sujet. C’est vrai ça, comment Swann, le chirurgien tout neuf, celui qui avait partagé sa vie et son lit dès son entrée dans l’hôpital, qui avait été une épaule agréable et salvatrice pourrait-il la planter là et lui avouer qu’il ne l’aimait pas ? Elle s’imaginait un mariage, peut-être qu’elle pensait qu’un jour je m’entendrais avec sa connasse de mère qui ferait mieux de faire un lifting au lieu de critiquer la profession médicale. Dans le fond, je n’avais rien contre elle, absolument rien. Susan était une gentille fille, mais pas extraordinaire. Mais gentille. Je m’étais convaincu que je devais l’aimer car être homosexuel et être interne était le pire plan au monde. En m’amourachant d’elle j’avais trouvé un bon moyen d’être toujours sur les meilleurs cas, mais aussi d’avoir la paix vis-à-vis des autres car personne n’aurait voulu ennuyer Susan la résidente si douce et si altruiste. Je me retournai pour prendre le sucre. « Suz, il faut que tu saches que je suis gay. » « J’ai une aventure. »Revers. Je me retournai brusquement, haussant les sourcils. Elle paraissait toute aussi surprise, quoiqu’un peu mal à l’aise. Je me mis à rire de façon incontrôlable, proche de l’hystérie. Et je n’avais rien vu venir, pas même l’ombre d’un doute. Une fois calmée, je l’embrassai sur le front. « Je te déconseille de me le présenter alors. » Elle me gifla sans que je puisse prévenir le coup. Je glapis en retour, pris de court par sa réaction. « Tu l’as pas volé » cracha-t-elle. Vulgaire chaton en colère. J’étais redevenu glacial, vexé qu’elle se soit octroyée une réaction violente que je n’avais pas eu de mon côté. Jeune chirurgien que j’étais, je me fichais bien qu’elle soit blessée dans le fond. Je n’avais pas encore décidé si je m’arrêtais là dans les études ou bien si je me spécialisais, mais jamais je ne marierai, et plus jamais je n’ai eu à travailler avec elle, m’étant débrouillé pour changer d’hôpital.
Je cherchais désespérément du réseau. Putain de ville. Pourquoi j’étais venu ici au juste. Pourquoi avais-je déménagé ? Oh et tant qu’on y était, pourquoi avais-je souscrit pour un opérateur incapable de me fournir une couverture de réseau décente. Je payais cette chose une petite fortune, on me pompait du fric tous les mois pour un téléphone que je ne pouvais utiliser qu’au prix du ridicule : j’étais condamné à lever le bras sans cesse à la recherche d’un réseau absent. Je jurais des insultes tout bas, pressant le pas dans la rue. La future Pamela Anderson de cette ville immonde allait devoir attendre que son adorable chirurgien traverse la ville à pied puisque sa voiture était au garage et que grâce à son opérateur de merde, il ne pouvait pas demander à ce que sa secrétaire mammairement parfaite passe le chercher. J’étais fou de rage, j’écumais comme cela m’arrivait régulièrement, victime de nombreuses sautes d’humeur, toutes aussi violentes les unes que les autres. Je bousculais quelques personnes de temps à autre, prenant à peine le temps de faire un geste d’excuse. Je haïssais le monde entier. Les opérateurs téléphoniques, les gens dans la rue, le garagiste qui ne m’avait pas prêté de voiture, le constructeur automobile, le concessionnaire auto, ma secrétaire qui n’était pas une voyante, ma cliente qui avait demandé un rendez-vous et même mes chaussures qui me faisaient un mal de chien. Un type me heurta avec une violence sans pareil, me faisant tituber. Trop surpris pour lui hurler ma rage au visage je l’avais regardé passé comme une vache avec un train. Il courait comme si les chiens de l’enfer étaient à ses trousses. Dans le tumulte mon téléphone avait volé pour aller finir au milieu de la chaussée. Impuissant je levais les bras au ciel. Maudite journée. Préférant ne pas mourir pour si peu je l’y laissai reprenant mollement mon chemin, découragé par tant de frustration et déceptions en l’espace de quelques minutes.
Je m’engageai dans une rue beaucoup moins fréquentée, décidé à écourter la balade quitte à arpenter des ruelles moins agréables visuellement. Au diable mon goût pour l’esthétisme. Apercevant au loin trois hommes je retrouvai une part de mon dynamisme habituel et, mettant ma fierté au placard je décidai que je demanderai à l’un d’eux s’ils accepteraient de me prêter leur téléphone pour que je joigne mon assistante. Je préparai mon discours pour le régler comme du papier à musique, me prenant pour quelque diplomate important. Une détonation. Je sursautai, me plaquant les mains sur les oreilles. Le monde se tordit sous mes yeux, les lignes devinrent des courbes, le sol se déroba, me laissant l’amère sensation de vivre quelque délire psychotique. Sonné, les secondes m’échappaient, s’écoulaient sans que rien ne se passa, je peinai à mettre un pied l’un devant l’autre, jusqu’à ce que le tableau se dessine. Un coup de feu. C’était deux des hommes, le troisième gît au sol. Je revis ce jour, mon frère sur le perron, ma mère morte. Suicide aux médicaments. Et mon frère qui me court après, hurlant mon nom. Sa voix résonnait encore à mes oreilles comme s’il était là, à l’autre bout de la rue, à m’appeler la voix griffée de panique. Mon corps se remit en marche, mon cerveau hurlant, sirène hululante et terrifiante. Je me précipitai auprès de l’homme presque mort, la panique étant mise de côté au profit des connaissances médicales qui revenaient au galop, seconde nature qui, je l’espérais, allait aider cet homme. J’enlevai mon manteau en hâte, tentant de le maintenir conscient en l’abreuvant de paroles. Certains considèrent que ce réflexe propre aux médecins est un moyen pour eux de se rassurer. Je roulai en boule mon manteau pour le placer sous sa tête. « Je vais vous faire plus mal que ce que personne n’a jamais pu vous faire, mais va falloir rester avec moi. » Machinalement, je répétais les mêmes gestes que j’avais appris durant mes huit années d’étude, le plaçant précautionneusement sur le flanc pour avoir accès au bout d’entré de la balle. J’arrachai un pan de ma chemise pour le presser contre la blessure, ralentissant ainsi l’hémorragie. J’avais les deux genoux au sol, calé contre son dos. J’attrapai sa main comme je pus. « Vous la serez. Si vous lâchez prise, je vous secouerai comme jamais. » Un rire nerveux m’échappa. Je lâchai brièvement sa main pour fouiller ses poches. Miracle. Un téléphone. Je composai le numéro des urgences, avant de mettre le haut parleur et de reprendre sa main. J’étais transi de froid sans en avoir conscience, continuant de lui parler de tout et de rien, sans que cela soit grandement passionnant, le ronronnement de ma voix ayant la seule utilité de le maintenir avec un pied dans la réalité. Les secours furent rapidement là, me relayant à mon grand soulagement. Lorsque la question fatidique de l’accompagner se posa, je refusai en bloc, préférant gagner mon bureau habillé comme un clochard. Le jour suivant j’ai appelé l’hôpital pour avoir des nouvelles et je me suis contenté du soulagement simple de le savoir en vie, nos chemins se séparant à cet endroit précis pour un certain temps.
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❥ VOUS ! ❥ PSEUDONYME. Machiàvel ❥ ÂGE IRL. 19 ans ❥ PAYS, VILLE. France, Albens (c'est perdu mais c'est à côté d'Annecy, ville de touriste et ex-candidate aux JO 2018 - amen ils se sont fait jeté, c'est une bonne chose ) ❥ ACTIVITÉ. 5/7 je dirais ❥ OU AS-TU CONNU LE FORUM ? COMMENT LE TROUVES-TU ? Sur PRD, on me l'a vendu en me mettant un scénario parfait sous le nom, pas pu résister. ♥ Et le concept du forum est génialissime ❥ UN MOT ? Si quelqu'un manie bien photoshop... j'aurai besoin d'avatar car je ne trouve pas mon bonheur sur Bazzart et je suis une bille en création ! ♥ Sur ce, bisous bisous les caribous
Dernière édition par Swann E. Prince le Mar 7 Aoû - 20:30, édité 26 fois | |
| | | S. Arkadi Volk ☀ Je viens de rejoindre ma team
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| Sujet: Re: Même les hommes et les femmes changent. Dans 1000 ans, il n’y aura ni mec, ni nana. Que des branleurs. Lun 6 Aoû - 9:27 | |
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| | | Swann E. Prince ☀ Je viens de rejoindre ma team
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| Sujet: Re: Même les hommes et les femmes changent. Dans 1000 ans, il n’y aura ni mec, ni nana. Que des branleurs. Lun 6 Aoû - 9:31 | |
| AAAAAAAWWWWH. Merci à toi J'ai tellement hâte de jouer ça que je vais réfléchir à ma fiche pendant mon boulot quand j'aurai pas de client Il est tellement parfait ce scénario, tu peux pas savoir combien il me plaît. J'ai l'impression que tu l'as pris dans ma tête, il correspond en tous points à ce que j'adore, c'est terrible. Je me répète mais c'est parce que j'en reviens pas ! | |
| | | Camelya A. Hastings ☀ Je viens de rejoindre ma team
ㄨ Célébrité : rachelawesomebilson ㄨ Nombres de messages : 33 ㄨ Devise : N'ayons peur de rien, le ridicule ne tue pas.
| Sujet: Re: Même les hommes et les femmes changent. Dans 1000 ans, il n’y aura ni mec, ni nana. Que des branleurs. Lun 6 Aoû - 9:41 | |
| Bienvenue Excellent choix de scénarii' | |
| | | S. Arkadi Volk ☀ Je viens de rejoindre ma team
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| | | | Swann E. Prince ☀ Je viens de rejoindre ma team
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| Sujet: Re: Même les hommes et les femmes changent. Dans 1000 ans, il n’y aura ni mec, ni nana. Que des branleurs. Lun 6 Aoû - 17:27 | |
| moi je veux bien des clients DES GENS TOUT NUS A CHARCUTEEEEER ! Merci Camelya | |
| | | S. Arkadi Volk ☀ Je viens de rejoindre ma team
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| Sujet: Re: Même les hommes et les femmes changent. Dans 1000 ans, il n’y aura ni mec, ni nana. Que des branleurs. Mar 7 Aoû - 20:39 | |
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| | | Swann E. Prince ☀ Je viens de rejoindre ma team
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| Sujet: Re: Même les hommes et les femmes changent. Dans 1000 ans, il n’y aura ni mec, ni nana. Que des branleurs. Mar 7 Aoû - 20:42 | |
| T'inquiète que je vais m'amuser, j'ai déjà commencé notre sujet | |
| | | S. Arkadi Volk ☀ Je viens de rejoindre ma team
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| Sujet: Re: Même les hommes et les femmes changent. Dans 1000 ans, il n’y aura ni mec, ni nana. Que des branleurs. Mar 7 Aoû - 20:43 | |
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| Sujet: Re: Même les hommes et les femmes changent. Dans 1000 ans, il n’y aura ni mec, ni nana. Que des branleurs. | |
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| | | | Même les hommes et les femmes changent. Dans 1000 ans, il n’y aura ni mec, ni nana. Que des branleurs. | |
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