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 ARKADI ஸ the torch i bear is scorchin' me.

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S. Arkadi Volk
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S. Arkadi Volk


ㄨ Célébrité : MATT BOMER. ♥
ㄨ Nombres de messages : 110

ARKADI ஸ the torch i bear is scorchin' me. Empty
MessageSujet: ARKADI ஸ the torch i bear is scorchin' me.   ARKADI ஸ the torch i bear is scorchin' me. EmptyVen 3 Aoû - 19:47



❥ VOLK ; SVEIN ARKADI.

❥ there's no end in sight.
❥ Né à SAMARA, RUSSIE.
❥ TRENTE-TROIS ANS.
❥ travaille comme DÉTECTIVE PRIVÉ.
❥ MATT BOMER.
❥ HOMOSEXUEL.
❥ MARIÉ.
❥ OUI, LA GUEGUERRE !

expressif ◘ amusant ◘ non-conformiste ◘ curieux ◘ audacieux ◘ sociable ◘ méfiant ◘ patient ◘ perspicace ◘ observateur ◘ séducteur ◘ loyal ◘ infidèle ◘ rancunier ◘ déterminé ◘ tactile ◘ capricieux ◘ persuasif ◘ orateur ◘ protecteur.

Qui est le soleil de ta vie ? ◘ c'est une question qui demande bien trop de réflexion : je passe.
T'es prêt à faire quoi pour un Big Mac ? ◘ pas grand-chose.
Qui est la personne que tu admires le plus ? ◘ disons... harvey milk.
Pour ou contre l'indépendance des femmes ? ◘ pour. ça a commencé par simplement me faire rire. puis, une fois que les choses ont été réellement lancées, que tout le monde à compris que ce n'était pas une une simple blague, alors... je les soutiens. tenez bon, mesdames ! puis, faut dire que, comme ça, peut-être que quelques uns viendront à se rabattre sur... les hommes. héhé.
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« Oui, je le veux. » ; d'une voix claire et distincte. Qui résonne dans l'église. Qui se fraie un chemin jusqu'à chaque oreille et qui fait sourire ou pleurer. Tu fixes cette jeune femme à qui tu viens de t'unir. Lucky. Pour la vie. Une vie entière. Inconscience adolescente, peut-être. Tu n'as que dix-neuf ans. Et elle dix-sept. Pourtant, tout le monde y croit.
Tu lui souris, tes yeux pétillent. Tu lis l'amour, la joie et l'impatiente dans son regard. Et quand, enfin, le pasteur t'autorise à l'embrasser : vous vous tombez littéralement dans les bras l'un de l'autre. Un baiser passionné, une étincelle qui éclipse tout le reste. Tu ne te poses pas de questions ; c'est l'évidence même.
Et pourtant.

À vingt-trois ans, tu poses ta candidature pour intégrer le F.B.I. Une batterie de tests physiques. Et d'autres qui jugent de ton intelligence, de ta culture générale. Ton intégrité, ton passé, tes choix, tes convictions, tes conneries juvéniles : rien n'est laissé au hasard. On interroge tes amis, ta famille, tes voisins, tes professeurs, tes employeurs ; tout ceux qui ont un lien plus ou moins direct avec ta personne. Prises de sang afin d'être sûr que tu ne te drogues pas. Tu passes au détecteur de mensonges, aussi. Et la moindre question t'apparaît comme une épreuve. « Êtes-vous amoureux de votre femme ? » ; il te demande d'une voix blanche. « Oui. Bien sûr ! » ; tu réponds, certain. Et les lignes qui se tracent n'ont plus rien de régulier. Ton cœur dément. Mensonge.

Certes tu l'aimes. Énormément. De tout ton cœur. Comme tu n'as jamais aimé personne. Cependant - et tu as honte que ce soit une vulgaire machine qui te l'ait apprit - tu n'es pas amoureux d'elle. Néanmoins tes sentiments à son égard restent inchangés depuis votre rencontre. Peut-être ne l'as-tu simplement jamais aimé de cette façon. Tu frissonnes. Et tu t'en veux.
Tu lui avoues. Parce que tu lui dois la vérité. Pleurs et cris, vérités blessantes jetées au visage de l'autre et conscience d'avoir perdu un temps considérable. D'avoir vécu dans le mensonge. Toutes ces années pour rien.

Malgré cela, vous vous réconciliez entre les draps. D'une façon agressive et malsaine. Mais qui soulage.
Vous restez ensemble. Mais pour une raison qui est certainement mauvaise - en tout les cas : pas la meilleure. Elle n'a pas les moyens de s'en sortir seule. Si tu la quitte elle héritera d'un peu d'argent. Mais sur le long-terme elle ne pourrait pas tenir.

Vingt-quatre ans. Tu passes le concours afin de devenir agent spécial. Rien d'étonnant à ce que tu l'obtiennes. Pour fêter ça, Lucky t'offre un revolver (taurus 88 ci oxidado). Celui qui te faisait tellement envie, derrière sa protection de verre. Les choses entre vous s'améliorent. Elles ont retrouvé une certaine stabilité. Vous savez à-nouveau vous sourire et rire ensemble. Votre complicité, tout doucement, se reconstruit.
Elle voit d'autres hommes. Et toi aussi.

Deux ans plus tard, tu montes en grade. Et diriges à ton tour une équipe.
Face à un dangereux criminel que tu recherches depuis plusieurs mois, tu te retrouves dans une posture délicate. Tous deux l'arme pointé vers l'autre. Il tire le premier et te manque. Tu vises et touches son épaule, le désarme. Son complice te tire dans le dos. Et ils s'enfuient, te laissant pour mort.
Ta vie sauve, tu la dois à cet homme qui a su comme agir, quoi faire. Hasard. Destin.

« Donne-moi ta démission. C'est encore le plus simple. Je suis désolé... » Parce que tu as eu la bonne idée d'aider un homme soupçonné des plusieurs meurtres et arnaques à fuir. Tu es certain qu'il est innocent. Alors tu lui as donné quelques billets et a détourné le regard alors qu'il s'enfuyait, nouvelle identité en main, vers un ailleurs qui lui sourirait peut-être. Tu as la chance que ton supérieur t'apprécie et qu'il partage tes convictions. Sinon, ça ne se serait pas passer avec tant de facilité. Tu as trente ans. Tu rédiges ta lettre de démission, rends ton arme de service et ton insigne, remercie ton directeur, l'embrasse et pars en souriant. Le silence se pose sur ce que tu fait, sur ce que tu as laissé faire. Ta carrière et ta vie ne sont pas gâchées. Tu n'es pas accusé de traîtrise. Tu peux encore faire tout ce que tu souhaites.

Détective privé. Ça t'a toujours tenté ; encore plus aujourd'hui. La photographie, l'enquête, le raisonnement. Rien de plus, en somme, que ce que tu faisais déjà au F.B.I. Si ce n'est que c'est peut-être moins dangereux. Et que tu gagnes beaucoup plus. Avant d'ouvrir ton cabinet, Lucky et toi décidez de déménager : Hampton. Elle a besoin de changement, elle veut visiter autre chose. Et toi, tu peux recommencer n'importe où.

Dès l'ouverture, ton cabinet remporte un franc succès. La curiosité maladive des gens et leur folle envie de connaître une vérité qui les dérange et qui les brise souvent : ça rapporte. À un point que tu n'avais pas osé imaginer. Tellement que tu dois embaucher un(e) secrétaire.
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❥ VOUS !
❥ EMRYS.
❥ SEIZE ANS.
❥ FRANCE, près de POITIERS.
❥ LYCÉENNE. pendant encore un an. normalement et malheureusement. héhé.
❥ ILO VEYOU. enfin. là, c'est deux mots. qui sont la contraction de trois. puis, du coup, comme ça : ça veut rien dire ; 'fin ça s'écrit pas, quoi. uh huh. donc, je dirais plutôt : ANANAS. ♥ :]

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